Les roses se fanent lorsqu'elles le doivent
Mais la politique n'attend jamais son heure
Elle tend la main et prend
Éjaculatrice d'écorces, rarement elle surprend

Un besoin de voir à long-terne
Noyé par l'argent qui pleut dans les bas
Mon singe se gratte l'entrejambe
Pendant qu'un citoyen naïf porte de garage l’effluve de la mort

Monsieur madame bonsoir
Monsieur madame au revoir...
Montrons à la politique à prendre son temps, à jouir avec des gants blancs
Pour qu'enfin, la femme, l'homme se bananent l'entre-gens

Les roses se fanent lorsqu'elles le doivent
La politique, « on verra »... dans quatre ans

Monsieur Mister M.
13 novembre 2012